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LES AGENTS D’ELECAM A CALIFOURCHON.

Elles donnent à l’observation, l’impression de ne pas être au travail ou tout au moins, de ne pas vouloir travailler. Cette attitude qui n’est pas anodine, a un effet sur le lieu du travail et sur la personne du citoyen désireux de jouir de son droit électoral. Sur le lieu du travail, l’inertie ostentatoire des agents d’ELECAM, a pour effet le sentiment du chaos d’une place démantelée où seuls, quelques margouillats en quête de pitance ou de plaisir génésique ont droit de cité. Chez les personnes et notamment les usagers du service public d’ELECAM, cette inanité affichée, provoque une déroute guidée par une pré-tension, lorsque ces derniers malgré la froideur des lieux, persistent à vouloir s’inscrire sur les listes électorales en prenant attache avec les agents du service public d’ELECAM. Une fois en conversation pour des mesures d’enregistrement, on peut entendre : « monsieur, sur votre carte d’identité, vous êtes maigre alors que sur mon appareil, vous avez de grosses joues ». lance l’agent d’ELECAM. Pour l’usager du service : « où est le rapport ? » s’interroge-t-il. Téméraire dans ces provocations subtiles, la descente faite par les journalistes de collectivités territoriales infos au siège d’ELECAM à Mballa II au lieudit dragage dans la commune de Yaoundé 1er , montre que certains usagers plus susceptibles, se lancent dans des querelles infinies avec les agents d’ELECAM, provoquant le découragement d’autres usagers en attente d’enrôlement sur les listes électorales. L’état d’esprit de l’institution en charge des élections au Cameroun sera déterminant pour des élections pacifiques de 2025.

Tobie Atangana   

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Written by tobie atangana

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